L'HCQ en traitement précoce : les données scientifiques

Les historiens qui se pencheront sur la période actuelle auront sans doute une sacrée gymnastique interprétative à faire pour comprendre comment une civilisation censément rationnelle aura pu générer un tel délire collectif, selon la judicieuse expression (et les judicieuses analyses du Dr Thierry Gourvénec).
L'anthropologue peut d'ores et déjà ajouter quelques pistes de recherche à celles du psychiatre, allant de la perte observable de repères existentiels fondamentaux, d'une culture désormais hors-sol et virtualisée, de réactivités paniques face à un danger présenté comme "mortel", de la faillite, de l’ensauvagement et même de la perversité des élites, de l'irresponsabilité et de la perte de déontologie de la presse, le tout arrosé de conflits d'intérêts, de corruption systémique et de logiques industrielles criminelles.
Ça ferait un excellent film mais pour l'instant, ça nous dessine surtout une réalité de m...
Parmi les entourloupes les plus viles mais aussi les plus obvies figure le scandaleux parti-pris des arrosés de tous bords en faveur du Remdesivir. On mesurera un jour comment ce remède, inutile, toxique et hors de prix, a été privilégié de façon crapuleuse par les autorités de santé (des hôpitaux aux organismes de surveillance des médicaments). En faveur d'une société pharmaceutique qui, à défaut d'avoir réussi son sale coup avec cette molécule, est aussi bien parti qu'il est possible pour nous fourguer bientôt un vaccin qui -selon les normes de sécurité vaccinale- demanderait au moins dix ans à être développé.
Les labos ont au passage accompli le tour de force d'obtenir une impunité totale en cas d'effets secondaires toxiques - chacun fait ce qu'il veut mais en ce qui me concerne, le gouvernement mondial (s'il advient) ou ceux de nos délirantes nations peuvent toujours braire un moment avant que je me laisse injecter ce truc.
Dans cette vaste arnaque, une condition préalable impérative était de flinguer ce bon vieux remède antiviral et immuno-modulateur, efficace in vitro contre le Sras, et dont un certain chercheur marseillais détient une expérience supérieure à quiconque en matière de prescription contre les bactéries (notamment intracellulaires) et les virus.
Tout témoin pas trop conditionné par la campagne de haine à son endroit aura pu constater par lui-même la violence et la systématicité des attaques subies par cet homme de science et médecin, avec les 600 collaborateurs qu'il dirige dans ce qui est de loin le meilleur centre en infectiologie de France et parmi les premiers en Europe !
Ces attaques étant passées par la fraude scientifique la plus grave (à laquelle ont participé des universités suisses), immédiatement mise à profit par des gouvernants sans scrupules, comme Olivier Véran, pour verrouiller les choses dans le sens souhaité.
Nous avons si souvent commenté et décrypté cette réalité que nous ne reviendrons pas une fois de plus sur cette monstre magouille - qui devrait crever les yeux de toute personne capable de voir par soi-même.
Ayant entendu hier -dans l'article de L'Impertinent média repris sur ce blog- le médecin cantonal valaisan affirmer de manière péremptoire que l'HCQ était inefficace comme l'avait démontré l'essai Solidarity de l'OMS, il paraît urgent de donner une fois de plus les éléments scientifiques probants relatifs à cette contre-vérité adoptée religieusement (et même souvent fanatiquement) par ceux qui se targuent d'être en charge de notre santé.
Vous trouverez donc infra l'état actuel de la recherche (appuyée sur 143 études réalisées à travers le monde) dont les conclusions n'ont bien sûr rien à voir avec ce qu'affirment les milieux inclus dans la corruption systémique (dont bien sûr Swissmedics, les HUG, le CHUV et les médecins cantonaux romands.
Il s'agit d'une publication anonyme en ligne, dont le lien figure ici, et qui contient des analyses similaires relatives à l'Ivermectine, la Vitamine D, le Zinc, les REGN-COV2 LY-CoV et Remdesivir.
On devine que les équipes qui ont préparé ces synthèses de la littérature, n'étant pas exactement tombées de la dernière pluie, doivent se trouver au cœur de la citadelle universitaire, œuvrant à faire connaître ces données de manière clandestine. Ça nous ramène pas mal de temps en arrière, mais c'est bel et bien au goût du jour hélas.
Place à la science et, once again : voyez plutôt par vous-mêmes !